Charles Aznavour
Hier encore, tu te hissais sur une scène japonaise et tu t’voyais déjà remplir les salles à Paris…
La bohème, tu connaissais tellement… Mais c’était hier…
J’entends encore ta voix et ne crois surtout pas que je veux te dire adieu. Non, non, je n’ai rien oublié, ni tes talents de comédiens, ni tes emmerdes lorsqu’enfant tu as foulé le sol français.
Jamais tu n’t’es laissé aller.
Et moi dans mon coin, sache que je n’ai pas vu le temps passer et il faut savoir que, comme ils disent, nous nous reverrons un jour ou l’autre.
Alors, Charles, emmenez-moi encore et encore…
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